Murmure, seulement, à lui
Leila nassimi / Maroc
Traduction jamel jlassi / tunisie
Tu ne savais pas
Comment saurais tu
Que mon cœur est devenu fou à cause de toi
Que la folie coule dans mes veines
Tu ne savais pas
Comment saurais tu
Que ton amour s’infiltre dans mon cœur
Comme un cheval brillant de blancheur
Il galope sur mes cotes
Il court dépassant les obstacles des veines
Un par un…
Errance sans fin…
Tu ne savais pas
Comment saurais tu
Que les sabots de désir
Bombardent le cœur de mon cœur
Et un palmier d’ébahissement se lève
Et je me sens amouracher par ta vigueur
Tu ne savais pas
Comment saurais tu
Lorsque le désespoir règne sur ma poitrine
Mon âme se brûle par ton amour créateur
Et elle fond par compassion pour ma passion
Pourquoi ne suis je pas bienveillante envers moi même...Pourquoi ???
Les feuillages de la patience se dispersent… s’éparpillent…
Sur les rives du souvenir tranchant
Comme une lame d’une épée brandissant…
Quand j’attrape une feuille elle me calme en disant
Je suis fascinée dès le jour…dès le mois…peut-être dès l’éternité…
Leila nassimi / Maroc
Traduction jamel jlassi / tunisie
Tu ne savais pas
Comment saurais tu
Que mon cœur est devenu fou à cause de toi
Que la folie coule dans mes veines
Tu ne savais pas
Comment saurais tu
Que ton amour s’infiltre dans mon cœur
Comme un cheval brillant de blancheur
Il galope sur mes cotes
Il court dépassant les obstacles des veines
Un par un…
Errance sans fin…
Tu ne savais pas
Comment saurais tu
Que les sabots de désir
Bombardent le cœur de mon cœur
Et un palmier d’ébahissement se lève
Et je me sens amouracher par ta vigueur
Tu ne savais pas
Comment saurais tu
Lorsque le désespoir règne sur ma poitrine
Mon âme se brûle par ton amour créateur
Et elle fond par compassion pour ma passion
Pourquoi ne suis je pas bienveillante envers moi même...Pourquoi ???
Les feuillages de la patience se dispersent… s’éparpillent…
Sur les rives du souvenir tranchant
Comme une lame d’une épée brandissant…
Quand j’attrape une feuille elle me calme en disant
Je suis fascinée dès le jour…dès le mois…peut-être dès l’éternité…