Qu'est-ce un Homme ! ?
L'homme est une forme déformée que Dieu a crée sous image d'un grincheux !
Un
suspect ordinaire. Une photo, une image toujours il est peureux !
Un
bibelot tôntôt triste, tôntôt heureux.
Un
homme est un aïeul dans son linceul mais sous forme d'un gueux
L'homme
est un spectre hâve et abstrait comme Le Faucheux.
L'homme est un esprit intangible, Incommensurablement dans son aspect hideux
L'homme donc une forme, suspect, personne, un spectre fieffé affreux.
Qu'est-ce un Homme ! ?
L'homme est un crée sut seulement par le Miséricordieux
Une
gnognote élue, une bête, un godelureau
Une
fadaise, un hère cossu par le Glorieux.
Une
adhérence, un jouissant, pris par le haut et sain esprit du TOUT-PUISSANT
Certes
! Il est comme il est, faible et sombre
Et n'a
jamais été comme celui qui tient les ombres
L'homme est un poltron, un lâche, un pleutre
Image,
abstraite, créé un peu plus neutre
L'homme dans sa nature pétulant et incoercible
Pas
pour le Dieu, car depuis sa sortie, son cris était inextinguible.
Il
était prou proche avec sa longanimité pour être adoré
Très
loin incommensurablement avec sa grivoiserie pour être abhorré.
L'homme enfin reste pour moi peu et ignare
Comme
l'image reclus et fourbue d'un jobard
L'homme enfin se fait un être luxueux
Mais
l'homme reste pour son créateur , juste un être spécieux .
Et qu’est ce un homme si ce n’est un
fêtard ?
Qui baguenaude et festoie d’un air
papelard
Un d’eux qui traîne la savate en
mangeant la mie
Et l’autre le richissime se régale de
plie
Vraiment la vie pour le premier n’est
suffisante
Mais au moins pour les floués elle est
gourante
Mais le grand dabe fera certes sa
punition
Le jour de la résurrection quand tout le monde sentira la pression
Le jour quand l’homme se rappellera d’une telle reviviscence
Et voudra tant mieux, mais en vétille,
venir à résipiscence
Mais c’est car il a oublié le jour quand
il a été sectaire
Pour les ordres de son Dieu et a été extrêmement
réfractaire
Ce jour là, personne ne viendra à sa rescousse,
ni il sera rescapé
Et il se souviendra du jour ou face
aux biens du Miséricordieux il a regimbé
Les athées ! Quoiqu’ils montrent
de longanimité
Face au grand châtiment ils sentiront
leur pusillanimité
Et hélas pour les matois et hypocrites
qui dans la vie étaient rassis
Le jour de la balance ils périront
assis
Eux et les impies comme eux dans une cohérence
Et ils seront jetés dans l’enfer de ce
qu’ils ont vécu d’aberrance
Dieu de bonté pour les croyants dans
leur alacrité
Dans leur haut Eden là ou ils vivront
avec sérénité
Car le glorieux les a fait partie de
son absolution
Eux les gagnants, vers le paradis ils
ont eu des solutions
Avec leur beau travail, jusqu’à de prières
leur jambes ont flageolé
Et d’une longue patience, leurs dos
ont été flagellé
Maintenant par grâce, ils vivront
dans l’Eden faramineux
Et oublieront ce qui a été atroce et
fastidieux
Ô croyants ! Travaillez bien,
et soyez même de la plèbe
Car le jour de la fin vous humerez l’odoriférant
air de la glèbe.