-Je me suis placé prés du ciel azur et j’ai dit que ce que
je dirais sera suranné.
Car au couchée du
ciel cramoisi elle me dira que je suis aliéné.
Mais que puis-je
faire ? Je dois me diriger vers son patelin
Là où elle vit, et
mes sentiments, doivent être sereins
Que mes paroles,
mouvements et amour doivent être ineffable
Pour qu’elle ne dise
que toute chose en moi est exécrable
Car elle placera dans
mon petit cœur plus de pépin( ennuis )
Et tout ce que je
dirais pour elle sera bénin
Mais ce cœur me dit d’être
mielleux et parler avec véhémence
Pour tirer de son cœur
la suc et la quintessence( essentiel )
Il me dit : vas
moricaud et ne soit pas veule
Si non tu resteras
toute ta vie reclus et seul
J’ai dit : pour
les yeux indicible je serais pantelant( en courant )
Et pour les mains
douces je tomberais haletant
Mais j’ai peur que je
ne sois veule mais stoïque
Et à la fin je ferais
tout à la va-vite et elle rira de moi un rire sardonique( fou )
Mais mon cœur m’a dit :
vas ! Le rire n’est rien face aux yeux pers( bleu et vert )
Les yeux dont tu
parlais tout le temps à ta mère
Vas et la route se montrera sans coup férir
Lorsque tu verras
dans son visage d’albâtre le beau sourire
J’ai dit : j’irais
pour voir ma bohème au rancard( rendez-vous )
Et je lui vouerais
mon cœur et je dirais Je t’aime avec un air papelard( doucereux )
Mais j’escompte et j’espère
que ce que je dirais ne soit dantesque
Pour qu’elle ne rit
et me dit : tu es déjà burlesque
Car ce moment là je
ressentirais la folie et la gausserie
Et je penserais que
ce qu’elle fait de moi n’est qu’une moquerie
J’y vais
Je suis allé dans la
route et je vacillais comme un boiteux
Car je sais que tout
ce que je dirais ne sera oiseux
Dans ce temps là je
verrais les mots s’évader de sa bouche écarlate avec véracité
Et je vivrais a l’ouie
de ses mots dans l’absurdité
Et je foncerais dans
le bassin de son cœur avec alacrité
Et je vivrais avec
elle ce qui me reste avec sérénité
Je l’ai vu serré
contre un arbre parmi cette flopée
Et j’ai dis à mon cœur
qu’elle chante une triste mélopée
Où elle demande grâce
et pardon de son Miséricordieux
Et lui de sa part ne
l’omet pas car il est le glorieux.
Mon cœur m’a dit : Yassine je pense que tu as eu déjà
les foies
Et tu ne vois qu’elle appelle son Dieu avec grande foi ?
Vas je t’ordonne et
avec elle ne sois peteux
Et pour la rendre heureuse sois un peu facétieux
J’ai dit : Ô
Maryam Ô mon cœur tires toi de cette racaille
Et déshabille toi de
en sortant de cette pagaille
La voix de Dieu est
si bonne, mais en dépassant ce n’est salubre
Et si tu t’isoles
seule et tu fonds dans le calme ça deviendra lugubre
ELLE s’est tourné
vers moi et a dit :
Ah oui je suis sortie
à la mer vers le septentrion
Et j’ai tout oublié
et je ne t’ai donné attention
Et j’ai nagé dans mes rêves et amours qui ont pris
recrudescence
Et j’ai appelé à des belles et mauvaises réminiscence
J’ai dit : si tu sais que c’est cet amour qui te donne
puissance
Et que pour moi je te dois toujours révérence
Mais je suis dans cette vie pouilleuse le puîné
Et je n’étais, ni je suis le rasséréné
Tout le temps que j’ai mi et que je met me prend la sève
Et à chaque fois je te vois ! Je ne te vois qu’un rêve
Maintenant que je t’ai
vu, mon cœur est devenu placide
Et pour tes yeux j’ai pris le chemin le plus rapide
Car je t’aime et dans mon for antérieur je le vois excellent
Et pour les gens et le cœur qui t’aime c’est plus que
succulent
Si vraiment tu me donner ta main pour qu’on puisse
Sortir de cette tristesse et boire un verre de bonheur, toi
et moi en suisse (seules)
Et je sais que les gens nous verront et trouveront cela opulent
Mais je leur dirais : Voici la femme dont je suis soupirant
(amoureux)
je dirais sera suranné.
Car au couchée du
ciel cramoisi elle me dira que je suis aliéné.
Mais que puis-je
faire ? Je dois me diriger vers son patelin
Là où elle vit, et
mes sentiments, doivent être sereins
Que mes paroles,
mouvements et amour doivent être ineffable
Pour qu’elle ne dise
que toute chose en moi est exécrable
Car elle placera dans
mon petit cœur plus de pépin( ennuis )
Et tout ce que je
dirais pour elle sera bénin
Mais ce cœur me dit d’être
mielleux et parler avec véhémence
Pour tirer de son cœur
la suc et la quintessence( essentiel )
Il me dit : vas
moricaud et ne soit pas veule
Si non tu resteras
toute ta vie reclus et seul
J’ai dit : pour
les yeux indicible je serais pantelant( en courant )
Et pour les mains
douces je tomberais haletant
Mais j’ai peur que je
ne sois veule mais stoïque
Et à la fin je ferais
tout à la va-vite et elle rira de moi un rire sardonique( fou )
Mais mon cœur m’a dit :
vas ! Le rire n’est rien face aux yeux pers( bleu et vert )
Les yeux dont tu
parlais tout le temps à ta mère
Vas et la route se montrera sans coup férir
Lorsque tu verras
dans son visage d’albâtre le beau sourire
J’ai dit : j’irais
pour voir ma bohème au rancard( rendez-vous )
Et je lui vouerais
mon cœur et je dirais Je t’aime avec un air papelard( doucereux )
Mais j’escompte et j’espère
que ce que je dirais ne soit dantesque
Pour qu’elle ne rit
et me dit : tu es déjà burlesque
Car ce moment là je
ressentirais la folie et la gausserie
Et je penserais que
ce qu’elle fait de moi n’est qu’une moquerie
J’y vais
Je suis allé dans la
route et je vacillais comme un boiteux
Car je sais que tout
ce que je dirais ne sera oiseux
Dans ce temps là je
verrais les mots s’évader de sa bouche écarlate avec véracité
Et je vivrais a l’ouie
de ses mots dans l’absurdité
Et je foncerais dans
le bassin de son cœur avec alacrité
Et je vivrais avec
elle ce qui me reste avec sérénité
Je l’ai vu serré
contre un arbre parmi cette flopée
Et j’ai dis à mon cœur
qu’elle chante une triste mélopée
Où elle demande grâce
et pardon de son Miséricordieux
Et lui de sa part ne
l’omet pas car il est le glorieux.
Mon cœur m’a dit : Yassine je pense que tu as eu déjà
les foies
Et tu ne vois qu’elle appelle son Dieu avec grande foi ?
Vas je t’ordonne et
avec elle ne sois peteux
Et pour la rendre heureuse sois un peu facétieux
J’ai dit : Ô
Maryam Ô mon cœur tires toi de cette racaille
Et déshabille toi de
en sortant de cette pagaille
La voix de Dieu est
si bonne, mais en dépassant ce n’est salubre
Et si tu t’isoles
seule et tu fonds dans le calme ça deviendra lugubre
ELLE s’est tourné
vers moi et a dit :
Ah oui je suis sortie
à la mer vers le septentrion
Et j’ai tout oublié
et je ne t’ai donné attention
Et j’ai nagé dans mes rêves et amours qui ont pris
recrudescence
Et j’ai appelé à des belles et mauvaises réminiscence
J’ai dit : si tu sais que c’est cet amour qui te donne
puissance
Et que pour moi je te dois toujours révérence
Mais je suis dans cette vie pouilleuse le puîné
Et je n’étais, ni je suis le rasséréné
Tout le temps que j’ai mi et que je met me prend la sève
Et à chaque fois je te vois ! Je ne te vois qu’un rêve
Maintenant que je t’ai
vu, mon cœur est devenu placide
Et pour tes yeux j’ai pris le chemin le plus rapide
Car je t’aime et dans mon for antérieur je le vois excellent
Et pour les gens et le cœur qui t’aime c’est plus que
succulent
Si vraiment tu me donner ta main pour qu’on puisse
Sortir de cette tristesse et boire un verre de bonheur, toi
et moi en suisse (seules)
Et je sais que les gens nous verront et trouveront cela opulent
Mais je leur dirais : Voici la femme dont je suis soupirant
(amoureux)