Quel ineffable temps vespéral
Et quelle fleur verdâtre vernale
Je l’ai dit le soir de la fenêtre : il fait beau
Mais le soir ne fait que me brûler la peau
Mais pourquoi… Le temps des bateaux.
L’homme sort le soir prendre un bel air
Et se croit débuter une très belle ère
Mais moi, je sors le soir dessiner son visage
Son sourire, son cœur… Oui tout dans le beau rivage
Et je dis, quelle énamourée, et quel bravoure
Tant pis ! Je dessine mon profond et agréable amour
Comme ce ciel azuré, cette beauté, très vague…
J’ai peur d’attiger devant cette beauté ou que je divague
Car je vois devant moi un cœur rassis et serein
Qui rime et chante les beaux chants d’un rouge serin
Qui rassérène les cœurs, ceux des avenants
Qui les rend purs et si impressionnants.
J’ai haussé mes yeux au ciel, oh elle était affable
J’ai vu dans la lune un seconde lumière, un visage aimable
Et j’ai tant voulu, juste le toucher
Ou bien passer avec mes yeux, mon regard, une unique bouchée
Mais elle était belle, haute, mais loin
J’ai aimé la voir prés de moi. Oh n’est ce pas tout
moins ?
Mais j’ai baissé mon regard ainsi que ma tête
Mes yeux avides, un homme au milieu d’une triste fête
Qui d’amour, a eu le coup jusqu’au faîte
Une flèche qui a affiné sa béatitude et l’a rendu nette
Quel grand amour ! Mais ouvre te yeux …Et juste arrête
Je les ai ouvert et j’ai vu la belle lumière
J’ai vu le cœur net et j’ai senti l’odoriférant bruyère
Et j’ai mis mes yeux sur ses yeux glauques
Et j’ai crié fort d’une voix rauque :
Moi je sais Ô mon énamouré que les anges ne se voient
Mais je ne sais guère comment je te vois
Et la belle chose dans mon amour qu’il est juste à toi
Et qu’il a et n’aura les foies
Car je t’aime, je soupire et juste je crois
Est-ce –que vraiment je te vois ?
Ah sur les jours ! Quand les jours sourient pour toi
Quand ils rient juste pour une seule fois
Ah quel joie, ces paroles, je ne les ai dis que pour toi
Tu crois Ô Maryam en Dieu
Tu le connais ! Il est le Miséricordieux
Alors écoute ce que je te dirais
Sachant que toujours Ô mon ange je te verrais :
Que j’ai beau cherché dans ma vie que j’arrose
Et Pour toi j’ai cueilli la belle rose
Et je la mettrais dans tes lisses cheveux
Et j’appellerais le Dieu avec tous mes vœux
Que tu sois ma femme et ma voie
Mon amour et mon guide dans la foi
Mais je n’ai que mon âme enfin
Et mon âme, tu le tiens juste dans tes mains
C’est pour cela que je vis dans la bohème
Et pour toi Ô Maryam, je t’aime et je t’écris des poèmes.
Mais mes yeux t’aiment, mon cœur t’aime
Tout en moi t’aime, c’est l’amour que tu me sèmes
Avec moi et tu me manques, loin de moi tu me manques, c’est
pire
Dis moi : Qu’est ce que tout cela veut dire
Oui ! Ca veut dire quoi quand mes paroles sont juste
pour toi ? Tu entends
Ca veut dire quoi que tout ce que je vois soit ton heureux
temps
Non ! Et ma voix Ô mon énamourée ne prononce que ton
nom
Oh ! C’est vrai que je vis la bohème
Et pour toi Maryam je composerais les plus beau poèmes
Et quelle fleur verdâtre vernale
Je l’ai dit le soir de la fenêtre : il fait beau
Mais le soir ne fait que me brûler la peau
Mais pourquoi… Le temps des bateaux.
L’homme sort le soir prendre un bel air
Et se croit débuter une très belle ère
Mais moi, je sors le soir dessiner son visage
Son sourire, son cœur… Oui tout dans le beau rivage
Et je dis, quelle énamourée, et quel bravoure
Tant pis ! Je dessine mon profond et agréable amour
Comme ce ciel azuré, cette beauté, très vague…
J’ai peur d’attiger devant cette beauté ou que je divague
Car je vois devant moi un cœur rassis et serein
Qui rime et chante les beaux chants d’un rouge serin
Qui rassérène les cœurs, ceux des avenants
Qui les rend purs et si impressionnants.
J’ai haussé mes yeux au ciel, oh elle était affable
J’ai vu dans la lune un seconde lumière, un visage aimable
Et j’ai tant voulu, juste le toucher
Ou bien passer avec mes yeux, mon regard, une unique bouchée
Mais elle était belle, haute, mais loin
J’ai aimé la voir prés de moi. Oh n’est ce pas tout
moins ?
Mais j’ai baissé mon regard ainsi que ma tête
Mes yeux avides, un homme au milieu d’une triste fête
Qui d’amour, a eu le coup jusqu’au faîte
Une flèche qui a affiné sa béatitude et l’a rendu nette
Quel grand amour ! Mais ouvre te yeux …Et juste arrête
Je les ai ouvert et j’ai vu la belle lumière
J’ai vu le cœur net et j’ai senti l’odoriférant bruyère
Et j’ai mis mes yeux sur ses yeux glauques
Et j’ai crié fort d’une voix rauque :
Moi je sais Ô mon énamouré que les anges ne se voient
Mais je ne sais guère comment je te vois
Et la belle chose dans mon amour qu’il est juste à toi
Et qu’il a et n’aura les foies
Car je t’aime, je soupire et juste je crois
Est-ce –que vraiment je te vois ?
Ah sur les jours ! Quand les jours sourient pour toi
Quand ils rient juste pour une seule fois
Ah quel joie, ces paroles, je ne les ai dis que pour toi
Tu crois Ô Maryam en Dieu
Tu le connais ! Il est le Miséricordieux
Alors écoute ce que je te dirais
Sachant que toujours Ô mon ange je te verrais :
Que j’ai beau cherché dans ma vie que j’arrose
Et Pour toi j’ai cueilli la belle rose
Et je la mettrais dans tes lisses cheveux
Et j’appellerais le Dieu avec tous mes vœux
Que tu sois ma femme et ma voie
Mon amour et mon guide dans la foi
Mais je n’ai que mon âme enfin
Et mon âme, tu le tiens juste dans tes mains
C’est pour cela que je vis dans la bohème
Et pour toi Ô Maryam, je t’aime et je t’écris des poèmes.
Mais mes yeux t’aiment, mon cœur t’aime
Tout en moi t’aime, c’est l’amour que tu me sèmes
Avec moi et tu me manques, loin de moi tu me manques, c’est
pire
Dis moi : Qu’est ce que tout cela veut dire
Oui ! Ca veut dire quoi quand mes paroles sont juste
pour toi ? Tu entends
Ca veut dire quoi que tout ce que je vois soit ton heureux
temps
Non ! Et ma voix Ô mon énamourée ne prononce que ton
nom
Oh ! C’est vrai que je vis la bohème
Et pour toi Maryam je composerais les plus beau poèmes