Tu es sorti de ta maison… De ton havre en pleurant
En mettant ta tête dans le mur dur et en pensant
Qu’à tu fait ?... Pour sortir de cette modeste masure
De ce grabat, de cette misère et de cette sombre blessure
Oui… Tu l’as mis dans ce mur dur en chialant
Comme un chien, blessé… qui crie en pleurant
Et qui égosille fort et avec grande voix
Qu’il est dépité… Mortifié par des matois
Mais tu es différent… oui … Tu l’es
Tu sortais de ta sombre obscurité… Quand tout est noir
Et tu penses… Tu cogites quand il fait soir
Mais… Tu recule de penser car… Tu es pantois
Car tu as tout perdu… Que te reste ? Une foi…
Mais tu es différent…
Tu es sorti, triste… Un sac de guenilles et il y avait une
averse
Tu pleurais… Où vas-tu ? Il y a un long chemin que tu
traverses
Mais ! Un instant… Tu t’es souvenu
Et un instant tu t’es tourné… Vers la masure et tu t’es
parvenu
A penser… A une chose qui te fait mal et qui t’a bouté
Dans la rue… La misère et la turpitude où tu vas
t’arc-bouter
Oui… Tu as pensé à tout cela, tu as arrêté de chialer et tu
as commencé
Et Tu as dit : Qu’attendais-je ? Je ferais mieux
d’avancer…
Mais car tu es différent… oui.
Tu t’es arrêté une dernière fois… Tu attendais un appel de
ton poignard
Mais rien ne s’est produit… Te prenaient-ils pour un cagnard ?
Peut-être… Où aller, Où gésir…. Arrête de hâbler
Le soir brûle ta peau…Tu pleurs… Marche Ô hâlé
Mais Où aller ? Chez un père … ?
Qui t’a laissé… Oui ou chez un hère ?
Déjà tu es dépité, mortifié et jeté dans la rue par une
mère…
Que te restes ?
Un coin reclus dans la rue
Être un mendiant… Ou errer sans être vu ?
Tout le temps traînasser… Dans tes mains tes haillons…
Toute la journée pour un bout de pain… Mais voyant !
Tu vois ? Tu es
un peu différent…
Car tu t’es arrêté,
le cœur battu… Et tu as pensé
A un père… Une mère. Pense d’abord à quoi manger
Mais tu as dit
en essuyant tes larmes… ton
offrant… : Je me suis chamaillé
Avec un père et une mère ! Qui m’ont laissé… Je me suis
fait harpailler
Qu’est ce qui te restes maintenant ? Différent ?
Tu as essuyé encore et tu as regardé en haut : J’ai un
Dieu
Qui est tout clément… Tout miséricordieux
Mais pour eux… Tu n’es qu’un paresseux
Inconnu dans son suaire avec de grands adieux
Et sera mis dans la suite de la vie… Où et qui ? Devant
un Dieu
C’est pourquoi tu es différent… Tu crois en un bon Dieu… Tu
es pieux
Je sais… Tu es triste, mais ta tristesse est allée loin
Jusqu'à la mort qui est pour toi… Quelque chose de moins
Et… Tu as pleuré cette fois bien … Et tu as crié : Ô
père Ô mère
Il se peut que vous le payiez chère ?
Mais ! C’et une vengeance ou arrogance ?
Tu ne sais pas… Tu dis ce que ressent ton blessé cœur
Car tout t’a quitté… chu… Joie et bonheur
Et tu es monté en haut… Tu voyais bas et la terre, t’as
voulu accoster
Pour qu’ils t’ovationnent… t’aimer et t’accoter
De qui tu reçois amour… bonté ou au moins viatique
Quelqu’un qui reconnaîtra … que tu as été stoïque
Devant ton malheureux sort… et devant cette méchante vilenie
Aimer ? Amour ? Ah quelle zizanie !
Tu es encore différent… Tu aimes ?
Oui je le sais… Mais tu sais que ce n’est pas pour les
spécieux
La tombe t’es préférable et te sied mieux
Mourir… ? Tu dis : Quelqu’un penses à moi ?
Non ! Y’en a mieux que toi
C’est quelque chose qui tue plus que l’émoi
Mais pourquoi tu pleurs ? Tu es encore différent ?
Tu pleurs pour ton énamouré…. Pour ton amour
Ou de ce qu’ils ont fait de ta volonté et de ton bravoure
Oui ne pleurs pas… je sais moi… Ils t’ont détruit
Et comme les traînards comme toi… on reconstruit
Ton cœur est devenu vindicatif ?
Est-ce obligé de se venger ou bien c’est affectif ?
Tu ne sais pas… C’est la méconnaissance qu’ils t’attifent
Et tu soupires… Pour un beau rêve
Mais… Oublie. Ils t’ont avachi… Mémoire d’une sève
Et tu n’es là qu’unique et seul
Et pour cela je te vois tout veule
T’as ressenti… tu dis : je ne suis pas seul, ce sont
les vicissitudes
Et combien de personnes, vivent en haine et turpitude
Dans une sombre et obscure solitude…
Qu’est ce qu’ils ont ? Sont-ils différents ?
Non ! Ils ne le sont et ne le seront.
Tu sais ? Il pleut et fait froid et tu n’as pas de bois
Le bois ? Je sais… Mais là il est à brûler les cœurs
des racailles
De la rue comme toi… Qui sont dans la pagaille
Des racailles qui pour la vilenie ont été stipendié
Contre toi… Tu n’as même pas quoi manger… Vas mendier
Et le soir… Vas t’asseoir, comme chaque soir rasoir
Et Tiens dans ta main une bouteille d’alcool, car il fait
froid et commence à boire
Et oublie après que tu es ou tu étais différent
Bois… Oublies… Et vacilles dans les environs
Mais n’oublies pas qu’il pleut et que tu es souillé
Et après, de faim dans les ordures… Vas fouiller
Dans tes poches sales… Qu’est ce que tu manges ?
Et après… Dans l’aube vas te jeter dans cette brune fange
Sans ami… Sans famille… Caches toi dans le coin de ce débris
Il sera dans la fin ta tombe et ton abri
Et à la fin tu te souviendras… Que tu es juste un pauvre hère
Jeté et poussé dans la rue… Par une pauvre mère.
En mettant ta tête dans le mur dur et en pensant
Qu’à tu fait ?... Pour sortir de cette modeste masure
De ce grabat, de cette misère et de cette sombre blessure
Oui… Tu l’as mis dans ce mur dur en chialant
Comme un chien, blessé… qui crie en pleurant
Et qui égosille fort et avec grande voix
Qu’il est dépité… Mortifié par des matois
Mais tu es différent… oui … Tu l’es
Tu sortais de ta sombre obscurité… Quand tout est noir
Et tu penses… Tu cogites quand il fait soir
Mais… Tu recule de penser car… Tu es pantois
Car tu as tout perdu… Que te reste ? Une foi…
Mais tu es différent…
Tu es sorti, triste… Un sac de guenilles et il y avait une
averse
Tu pleurais… Où vas-tu ? Il y a un long chemin que tu
traverses
Mais ! Un instant… Tu t’es souvenu
Et un instant tu t’es tourné… Vers la masure et tu t’es
parvenu
A penser… A une chose qui te fait mal et qui t’a bouté
Dans la rue… La misère et la turpitude où tu vas
t’arc-bouter
Oui… Tu as pensé à tout cela, tu as arrêté de chialer et tu
as commencé
Et Tu as dit : Qu’attendais-je ? Je ferais mieux
d’avancer…
Mais car tu es différent… oui.
Tu t’es arrêté une dernière fois… Tu attendais un appel de
ton poignard
Mais rien ne s’est produit… Te prenaient-ils pour un cagnard ?
Peut-être… Où aller, Où gésir…. Arrête de hâbler
Le soir brûle ta peau…Tu pleurs… Marche Ô hâlé
Mais Où aller ? Chez un père … ?
Qui t’a laissé… Oui ou chez un hère ?
Déjà tu es dépité, mortifié et jeté dans la rue par une
mère…
Que te restes ?
Un coin reclus dans la rue
Être un mendiant… Ou errer sans être vu ?
Tout le temps traînasser… Dans tes mains tes haillons…
Toute la journée pour un bout de pain… Mais voyant !
Tu vois ? Tu es
un peu différent…
Car tu t’es arrêté,
le cœur battu… Et tu as pensé
A un père… Une mère. Pense d’abord à quoi manger
Mais tu as dit
en essuyant tes larmes… ton
offrant… : Je me suis chamaillé
Avec un père et une mère ! Qui m’ont laissé… Je me suis
fait harpailler
Qu’est ce qui te restes maintenant ? Différent ?
Tu as essuyé encore et tu as regardé en haut : J’ai un
Dieu
Qui est tout clément… Tout miséricordieux
Mais pour eux… Tu n’es qu’un paresseux
Inconnu dans son suaire avec de grands adieux
Et sera mis dans la suite de la vie… Où et qui ? Devant
un Dieu
C’est pourquoi tu es différent… Tu crois en un bon Dieu… Tu
es pieux
Je sais… Tu es triste, mais ta tristesse est allée loin
Jusqu'à la mort qui est pour toi… Quelque chose de moins
Et… Tu as pleuré cette fois bien … Et tu as crié : Ô
père Ô mère
Il se peut que vous le payiez chère ?
Mais ! C’et une vengeance ou arrogance ?
Tu ne sais pas… Tu dis ce que ressent ton blessé cœur
Car tout t’a quitté… chu… Joie et bonheur
Et tu es monté en haut… Tu voyais bas et la terre, t’as
voulu accoster
Pour qu’ils t’ovationnent… t’aimer et t’accoter
De qui tu reçois amour… bonté ou au moins viatique
Quelqu’un qui reconnaîtra … que tu as été stoïque
Devant ton malheureux sort… et devant cette méchante vilenie
Aimer ? Amour ? Ah quelle zizanie !
Tu es encore différent… Tu aimes ?
Oui je le sais… Mais tu sais que ce n’est pas pour les
spécieux
La tombe t’es préférable et te sied mieux
Mourir… ? Tu dis : Quelqu’un penses à moi ?
Non ! Y’en a mieux que toi
C’est quelque chose qui tue plus que l’émoi
Mais pourquoi tu pleurs ? Tu es encore différent ?
Tu pleurs pour ton énamouré…. Pour ton amour
Ou de ce qu’ils ont fait de ta volonté et de ton bravoure
Oui ne pleurs pas… je sais moi… Ils t’ont détruit
Et comme les traînards comme toi… on reconstruit
Ton cœur est devenu vindicatif ?
Est-ce obligé de se venger ou bien c’est affectif ?
Tu ne sais pas… C’est la méconnaissance qu’ils t’attifent
Et tu soupires… Pour un beau rêve
Mais… Oublie. Ils t’ont avachi… Mémoire d’une sève
Et tu n’es là qu’unique et seul
Et pour cela je te vois tout veule
T’as ressenti… tu dis : je ne suis pas seul, ce sont
les vicissitudes
Et combien de personnes, vivent en haine et turpitude
Dans une sombre et obscure solitude…
Qu’est ce qu’ils ont ? Sont-ils différents ?
Non ! Ils ne le sont et ne le seront.
Tu sais ? Il pleut et fait froid et tu n’as pas de bois
Le bois ? Je sais… Mais là il est à brûler les cœurs
des racailles
De la rue comme toi… Qui sont dans la pagaille
Des racailles qui pour la vilenie ont été stipendié
Contre toi… Tu n’as même pas quoi manger… Vas mendier
Et le soir… Vas t’asseoir, comme chaque soir rasoir
Et Tiens dans ta main une bouteille d’alcool, car il fait
froid et commence à boire
Et oublie après que tu es ou tu étais différent
Bois… Oublies… Et vacilles dans les environs
Mais n’oublies pas qu’il pleut et que tu es souillé
Et après, de faim dans les ordures… Vas fouiller
Dans tes poches sales… Qu’est ce que tu manges ?
Et après… Dans l’aube vas te jeter dans cette brune fange
Sans ami… Sans famille… Caches toi dans le coin de ce débris
Il sera dans la fin ta tombe et ton abri
Et à la fin tu te souviendras… Que tu es juste un pauvre hère
Jeté et poussé dans la rue… Par une pauvre mère.