La pluie, l’hiver approche
Le mauvais temps
Les bateaux entrent, regroupent et accrochent
Et je suis toujours dans mon ancien ton
Je ne pensais qu’à une cause
Ce que nous vivions
Fallait-t-il une pause
Pour oublier cet amour que nous avions
Dis-moi, suis-je sur la mer ?
Ou sur le sol de la terre
Pleut-il et y a une fange ?
Ou bien je rêve assis devant une ange
Pourquoi je suis si calme pour voir
Si attentif pour ce que nous songions
Me fallait-il un miroir
Pour voir l’amour que nous prenions
Non trésor c’est la neige blanche
Et Tu étais songeur, ému
Ca te coupait la vue, d’une branche
Et après tu ne me reconnais plus
Non cœur c’est que je t’aime
Et c’est que je suis fou
Pour notre thème
Et pour tes cheveux mous
Est ce que toujours dans la mer ?
Ou dans le sol rude de la terre
Pleut-il et y a une fange ?
Ou je rêve assis devant une ange
Je ne savais que ça te fera tour
Je ne l’ai pas su
Que tu cours
A l’amour au sein de la rue
C’est merveilleux
Ce que c’est ce cœur
Donc ferme tes yeux
Et tu aura trouvé, puis pleure
Mais quand on ferme les yeux
On ne voit que les rêves
Et tu es mon songe joyeux
Une fille qui prend la relève
Au croissant et à la touchée
Quand se lève le matin
Quand pour ton amour je suis tombé
Seras-tu mon guide et parrain
Quelle attitude
Et quel beau nuage
Tu seras ma béatitude
Au milieu de ce rivage
Au croissant, le beau voyage
Mais qui pose du chagrin
Ne nous prenions de bagages
Et notre amour sera le tremplin
Ô l’amour et ses mœurs
Qui nous fait oublier ces ragots
Elle Nous chante au trémolo
Oh mon Dieu ça fait peur
Car ce n’est tout
Et que je t’aimerais prou
Et que ça soit toute une piste
Plein d’amour mais triste
Car il me parait et me semble
Qu’on est de tristes humbles
Qui sont perdus
Au milieu de ses voix
Et qui prennent tout le poids
Comme les rois
Mais où personne n’a répondu
J’ai entendu un ouï-dire
Que l’amour est un tour
Qui a but pour
Un souvenir qui fait rire
Une histoire telle
Qui sera un joli dessin
Une vie très belle
Où la joie sera la fin
Et j’ai cru à la femme
Qui a dit que l’amour fait pleurer
Car c’est le fait d’aimer
Quelle parole de belle dame
Elle a dit :
Que dans l’amour faut des larmes
Pour une envie de charme
Quel joli thème elle a mis
Mais regarde ce ciel d’été
Semble-t-il bleu ?
C’est comme ça que j’étais
Cela veut dire que je suis mieux
Mais il m’arrive le temps ineffable
Où j’oublie le mets et la table
Car tu es l’été de ma fenêtre
Où tu me montres les lieux champêtres
Mais c’est tout un temps gris
Et tu restes le songe et la fille
Donc quel fruit
Et quel bruit
Le jour amer
S’en va à l’horizon avec cette mer
Sous mes panards il y a une terre
Et devant, y a mon honneur
Donc je ferais tout
Pour tirer le bonheur
Quel joli air
Et le mot « je t’aime » tout à coup
Vient de lier nos deux cœurs
Et maintenant j’y crois à celui qui a dit
J’étudierais jusqu’à t’aimer avec cents langues
Il l’a dit et il a souri
Fallait-il des paroles aussi longues ?
Je suis sur la terre
Et y a une mer
Le soleil scintille et y a pas de fange
Et moi ? Je suis assis devant mon ange…
Le mauvais temps
Les bateaux entrent, regroupent et accrochent
Et je suis toujours dans mon ancien ton
Je ne pensais qu’à une cause
Ce que nous vivions
Fallait-t-il une pause
Pour oublier cet amour que nous avions
Dis-moi, suis-je sur la mer ?
Ou sur le sol de la terre
Pleut-il et y a une fange ?
Ou bien je rêve assis devant une ange
Pourquoi je suis si calme pour voir
Si attentif pour ce que nous songions
Me fallait-il un miroir
Pour voir l’amour que nous prenions
Non trésor c’est la neige blanche
Et Tu étais songeur, ému
Ca te coupait la vue, d’une branche
Et après tu ne me reconnais plus
Non cœur c’est que je t’aime
Et c’est que je suis fou
Pour notre thème
Et pour tes cheveux mous
Est ce que toujours dans la mer ?
Ou dans le sol rude de la terre
Pleut-il et y a une fange ?
Ou je rêve assis devant une ange
Je ne savais que ça te fera tour
Je ne l’ai pas su
Que tu cours
A l’amour au sein de la rue
C’est merveilleux
Ce que c’est ce cœur
Donc ferme tes yeux
Et tu aura trouvé, puis pleure
Mais quand on ferme les yeux
On ne voit que les rêves
Et tu es mon songe joyeux
Une fille qui prend la relève
Au croissant et à la touchée
Quand se lève le matin
Quand pour ton amour je suis tombé
Seras-tu mon guide et parrain
Quelle attitude
Et quel beau nuage
Tu seras ma béatitude
Au milieu de ce rivage
Au croissant, le beau voyage
Mais qui pose du chagrin
Ne nous prenions de bagages
Et notre amour sera le tremplin
Ô l’amour et ses mœurs
Qui nous fait oublier ces ragots
Elle Nous chante au trémolo
Oh mon Dieu ça fait peur
Car ce n’est tout
Et que je t’aimerais prou
Et que ça soit toute une piste
Plein d’amour mais triste
Car il me parait et me semble
Qu’on est de tristes humbles
Qui sont perdus
Au milieu de ses voix
Et qui prennent tout le poids
Comme les rois
Mais où personne n’a répondu
J’ai entendu un ouï-dire
Que l’amour est un tour
Qui a but pour
Un souvenir qui fait rire
Une histoire telle
Qui sera un joli dessin
Une vie très belle
Où la joie sera la fin
Et j’ai cru à la femme
Qui a dit que l’amour fait pleurer
Car c’est le fait d’aimer
Quelle parole de belle dame
Elle a dit :
Que dans l’amour faut des larmes
Pour une envie de charme
Quel joli thème elle a mis
Mais regarde ce ciel d’été
Semble-t-il bleu ?
C’est comme ça que j’étais
Cela veut dire que je suis mieux
Mais il m’arrive le temps ineffable
Où j’oublie le mets et la table
Car tu es l’été de ma fenêtre
Où tu me montres les lieux champêtres
Mais c’est tout un temps gris
Et tu restes le songe et la fille
Donc quel fruit
Et quel bruit
Le jour amer
S’en va à l’horizon avec cette mer
Sous mes panards il y a une terre
Et devant, y a mon honneur
Donc je ferais tout
Pour tirer le bonheur
Quel joli air
Et le mot « je t’aime » tout à coup
Vient de lier nos deux cœurs
Et maintenant j’y crois à celui qui a dit
J’étudierais jusqu’à t’aimer avec cents langues
Il l’a dit et il a souri
Fallait-il des paroles aussi longues ?
Je suis sur la terre
Et y a une mer
Le soleil scintille et y a pas de fange
Et moi ? Je suis assis devant mon ange…