J’ai su Ô Madame
Que l’amour est une plaie
Et que tu es ma seule femme
Et c’est ce qui me plait
Madame est ce que c’est un mensonge
Qu tu sois mon songe ?
Et aussi mon ange ?
Est-ce que c’est vrai la plaie dans ma peau
L’amour qui si panse avec ton eau ?
Est-ce que Madame j’avais tort
Que tu sois mon sort et mon or ?
Ô Madame étais-je à l’envers ?
Juste car tes yeux sont pers
Oh Monsieur l’amour, quand tu offres une pièce
Tu pars et tu laisses la liesse.
Tu te souviens Mary de la veille
Quand scintillait ton soleil
Avec ça je t’en supplie, ne me laisse en rade
La vie sans toi sera vraiment fade
Car l’amour m’a appris que je ne t’oublie
Et pour toi que je sourie
Et que je ne dise des fadaises
Et envisager mon soupire en aise
De voir tes yeux
Et soupirer toujours mieux
L’amour m’a dit que la vie est une pomme
Qu’à chaque fois tu mords, c’est comme
Si à chaque fois ça enivre ton âme
Ou te tranche avec une lame !
Mais toi et rien que toi
Déjà quand je ne te vouvoie, c’est l’émoi
Car quand tu vois ce qui tombe de feuilles
Ne sont-ils pas jaunes et tilleul ?
Ne sont-ils pas bons
C’est comme si tu ouïes mon son.
Peux-tu donc omettre la vérité
Que tu es un grand soleil
Peux-tu alors ignorer la véracité
Que tu es une merveille ?
Peux-tu ignorer Mary que l’enfant
Ne pleure si longtemps
Alors comment ne crois-tu que mon cœur
T’aime et bat pour ton bonheur ?
Non et mille non
Je soupirerais beaucoup longtemps
Jusqu’à ce que l’étoile
Avec sa scintillation s’incline pour ta lumière en voile
Et l’enfant ne vagit
Et jusqu'à ce que la lune sera ravie
Mais ne dis pas : Est-ce qu’il a fallut
Vois-tu à présent ce temps
Qu’on a passé au pont
Devant quelques uns
Alors que sans timidité je te tiens la main
Et je raffole que tu lèves tes yeux
Qui appartiennent à ce pieux
Qui crie et égosille
Le mot « je t’aime » en vétille
Qui ne s’avachit ni cesse
Car il croit que tu les remontes et ne les abaisses
Et dans ce temps là, tout sourira
Lune, soleil, et tilleul
Et tout te dira
Que Yassine pour toi était merveilleux
Alors Ô Madame, suis-je sur le pont
Qui nous liait si longtemps
Ou bien je suis sur le rivage
Et que tout ce qui me tient soit ton visage ?
Je t’aime Madame Mary. Je le vois haut le nuage.
Que l’amour est une plaie
Et que tu es ma seule femme
Et c’est ce qui me plait
Madame est ce que c’est un mensonge
Qu tu sois mon songe ?
Et aussi mon ange ?
Est-ce que c’est vrai la plaie dans ma peau
L’amour qui si panse avec ton eau ?
Est-ce que Madame j’avais tort
Que tu sois mon sort et mon or ?
Ô Madame étais-je à l’envers ?
Juste car tes yeux sont pers
Oh Monsieur l’amour, quand tu offres une pièce
Tu pars et tu laisses la liesse.
Tu te souviens Mary de la veille
Quand scintillait ton soleil
Avec ça je t’en supplie, ne me laisse en rade
La vie sans toi sera vraiment fade
Car l’amour m’a appris que je ne t’oublie
Et pour toi que je sourie
Et que je ne dise des fadaises
Et envisager mon soupire en aise
De voir tes yeux
Et soupirer toujours mieux
L’amour m’a dit que la vie est une pomme
Qu’à chaque fois tu mords, c’est comme
Si à chaque fois ça enivre ton âme
Ou te tranche avec une lame !
Mais toi et rien que toi
Déjà quand je ne te vouvoie, c’est l’émoi
Car quand tu vois ce qui tombe de feuilles
Ne sont-ils pas jaunes et tilleul ?
Ne sont-ils pas bons
C’est comme si tu ouïes mon son.
Peux-tu donc omettre la vérité
Que tu es un grand soleil
Peux-tu alors ignorer la véracité
Que tu es une merveille ?
Peux-tu ignorer Mary que l’enfant
Ne pleure si longtemps
Alors comment ne crois-tu que mon cœur
T’aime et bat pour ton bonheur ?
Non et mille non
Je soupirerais beaucoup longtemps
Jusqu’à ce que l’étoile
Avec sa scintillation s’incline pour ta lumière en voile
Et l’enfant ne vagit
Et jusqu'à ce que la lune sera ravie
Mais ne dis pas : Est-ce qu’il a fallut
Vois-tu à présent ce temps
Qu’on a passé au pont
Devant quelques uns
Alors que sans timidité je te tiens la main
Et je raffole que tu lèves tes yeux
Qui appartiennent à ce pieux
Qui crie et égosille
Le mot « je t’aime » en vétille
Qui ne s’avachit ni cesse
Car il croit que tu les remontes et ne les abaisses
Et dans ce temps là, tout sourira
Lune, soleil, et tilleul
Et tout te dira
Que Yassine pour toi était merveilleux
Alors Ô Madame, suis-je sur le pont
Qui nous liait si longtemps
Ou bien je suis sur le rivage
Et que tout ce qui me tient soit ton visage ?
Je t’aime Madame Mary. Je le vois haut le nuage.