Là bas au coin j’étais assis
Et je voyais mon songe, tout rassis
Et j’envisageais avec silence
Ma passion et ma reviviscence
Et c’était avec telle révérence.
Je pensais à celle qui a éblouis mon ciel sombre
Et qui est devenue mon joli ambre
Et qui m’a appris à dire
Les mots d’amour qui font rire
Juste assis Ô Mon ange
Je pense que tu seras plutôt mon archange
Tu m’es tombée du Ciel
Et tu as changé ma vie en miel
Et d’antan
Oui, cela fait un beau temps
Que je priait et je dis :
J’escompte que de toi n’y a pas de sosie
Et ce que je disais la veille
Etait un louange pour cette merveille
Vois-tu ce ciel nébuleux
Il semble triste et nuageux
Mais seuls tes yeux
Peuvent le rendre joyeux
Et j’arrive à croire que t’es la seule à me rendre heureux
Vois-tu cet enfant qui vagit
Lors du cri de sa vie
Seules tes douces mains
Peuvent le rendre placide et sain
Alors comment tu éloignes tes mains de mon visage
Dans ce milieu et ce beau rivage ?
Juste approche les Ô mon ange
Et laisse les m’accoter pour un nouveau songe
Je me souviens ma reine
Que loin de toi me cause la peine
Et que les douces paroles d’amour et par centaine
Sont devant ta beauté nuls et vaines
Mais juste accepte ce que je dis
Fais le, ne ris pas mais souris.
Quand tes yeux pers m’ont regardé
Je me suis incliné et j’ai musardé
Dans le bassin de ton pur amour
Et j’y resterais pour toujours
Je sais que ton amour est inextinguible
Mais saches que mes sentiments sont incoercibles
Pour cela j’envisage prés de toi le bonheur
Et à tes côtés je veux vivre Ô mon cœur
Car la bonté et la félicitée sont agréables
Mais ma vie prés de toi est plus ineffable.
Quand j’ai lorgné tes yeux, je me suis vu défunt
Et la saveur, ténuité de tes mots, tout était fin
Et quand tu as envoyé tes cheveux
J’ai appelé par tous les vœux
Pour que le ciel pleure
Et pour que tu restes épanouie Ô ma fleur
Je ne veux dans la vie ni fortune, ni compassion
Mais juste vivre avec toi ma passion
Et que je hume ton odoriférant air
Avant qu’ils ferment sur moi cette terre
Entends-tu le chant de ce serin
C’est le chant de mon cœur qui est serein
Et il fera le plus beau gazouillis
Pour gagner ce cœur qui scintille
Et donc saches que je t’aime fort
Où fuir ? Tout court : c’est mon sort
Et tu es le suc de ce rêve inouï
Qui me jette en liesse, l’amour et ses puits
Devant tes yeux, tes mains je m’incline madame
Et j’espère que tu sois, ma vie, ma femme
Et je t’aime un amour tel n’est connu
Il est pur, vrai et ténu
Et je voyais mon songe, tout rassis
Et j’envisageais avec silence
Ma passion et ma reviviscence
Et c’était avec telle révérence.
Je pensais à celle qui a éblouis mon ciel sombre
Et qui est devenue mon joli ambre
Et qui m’a appris à dire
Les mots d’amour qui font rire
Juste assis Ô Mon ange
Je pense que tu seras plutôt mon archange
Tu m’es tombée du Ciel
Et tu as changé ma vie en miel
Et d’antan
Oui, cela fait un beau temps
Que je priait et je dis :
J’escompte que de toi n’y a pas de sosie
Et ce que je disais la veille
Etait un louange pour cette merveille
Vois-tu ce ciel nébuleux
Il semble triste et nuageux
Mais seuls tes yeux
Peuvent le rendre joyeux
Et j’arrive à croire que t’es la seule à me rendre heureux
Vois-tu cet enfant qui vagit
Lors du cri de sa vie
Seules tes douces mains
Peuvent le rendre placide et sain
Alors comment tu éloignes tes mains de mon visage
Dans ce milieu et ce beau rivage ?
Juste approche les Ô mon ange
Et laisse les m’accoter pour un nouveau songe
Je me souviens ma reine
Que loin de toi me cause la peine
Et que les douces paroles d’amour et par centaine
Sont devant ta beauté nuls et vaines
Mais juste accepte ce que je dis
Fais le, ne ris pas mais souris.
Quand tes yeux pers m’ont regardé
Je me suis incliné et j’ai musardé
Dans le bassin de ton pur amour
Et j’y resterais pour toujours
Je sais que ton amour est inextinguible
Mais saches que mes sentiments sont incoercibles
Pour cela j’envisage prés de toi le bonheur
Et à tes côtés je veux vivre Ô mon cœur
Car la bonté et la félicitée sont agréables
Mais ma vie prés de toi est plus ineffable.
Quand j’ai lorgné tes yeux, je me suis vu défunt
Et la saveur, ténuité de tes mots, tout était fin
Et quand tu as envoyé tes cheveux
J’ai appelé par tous les vœux
Pour que le ciel pleure
Et pour que tu restes épanouie Ô ma fleur
Je ne veux dans la vie ni fortune, ni compassion
Mais juste vivre avec toi ma passion
Et que je hume ton odoriférant air
Avant qu’ils ferment sur moi cette terre
Entends-tu le chant de ce serin
C’est le chant de mon cœur qui est serein
Et il fera le plus beau gazouillis
Pour gagner ce cœur qui scintille
Et donc saches que je t’aime fort
Où fuir ? Tout court : c’est mon sort
Et tu es le suc de ce rêve inouï
Qui me jette en liesse, l’amour et ses puits
Devant tes yeux, tes mains je m’incline madame
Et j’espère que tu sois, ma vie, ma femme
Et je t’aime un amour tel n’est connu
Il est pur, vrai et ténu